Suite aux nombreuses lacunes et incohérences de l’ article : Les agronomes québécois à la rescousse des abeilles , paru dans le Devoir le 3 aout 2015, l’ABPS a souhaité répondre et apporter des précisions et rectifications : Les agronomes pourraient mieux défendre les abeilles .
L’article remet en question l’usage systématique des ces pesticides (de manière préventive) malgré qu’il n’y ait « aucune différence significative entre les champs traités aux néonicotinoïdes et ceux non traités pour ce qui concerne l’amélioration des rendements ou la présence d’insectes ravageurs ciblés. »
La conclusion : « Ainsi, une interdiction totale est possible et souhaitable pour la protection des pollinisateurs, indispensables à nos productions agricoles », urge le gouvernement du Québec à mettre en oeuvre des mesures efficaces pour le bannissement des pesticides systémiques.